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 Et une connerie de plus !!!!!

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JLH

JLH


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Date d'inscription : 02/06/2006

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MessageSujet: Et une connerie de plus !!!!!   Et une connerie de plus !!!!! EmptySam 5 Juil - 12:26

QUI POURRAIT LA FAIRE TAIRE UNE FOIS POUR TOUTE ????????
Tollé après une sortie de Royal
L’ex-candidate a minimisé le rôle du Président dans la libération.

La polémique est partie jeudi de Québec et est arrivée vendredi à Paris. La cause : les propos de Ségolène Royal sur le rôle de Nicolas Sarkozy dans la libération d’Ingrid Betancourt. La droite, comme convenu, lui est tombée dessus à bras raccourcis pour avoir affirmé que le Président «n’a été absolument pour rien dans cette libération». Mais à gauche aussi des voix se sont élevées pour condamner l’ex-candidate. Comme celle de Jack Lang, qui a estimé vendredi que «minimiser» la place de Sarkozy dans cette affaire relevait d’une «rare mesquinerie et d’un manque d’élégance morale».«Les querelles autour d’une prétendue récupération politique me paraissent dérisoires.»Ou celle du député fabiusien du Gers, Philippe Martin, jugeant «assez triste et un peu consternant» le propos incriminé.«Qu’on le veuille ou non, les appels [que Nicolas Sarkozy] a pu faire passer, parfois par Radio France Internationale, la mobilisation qu’il a entretenue en France ne sont pas de nature à faire l’objet d’une critique.»

Phrase.Tout commence jeudi. Tandis que la délégation française conduite par François Fillon est réunie autour du déjeuner offert par le maire de Québec à l’occasion du 400e anniversaire de sa ville, Royal, entourée de quelques journalistes, découvre, dans un salon de son hôtel, les images de l’ex-otage embrassant ses enfants. Devant les caméras, elle dit son admiration pour son «courage physique».Interrogée sur le rôle de Sarkozy, elle en souligne les limites : «Tout le monde le sait, c’est une opération colombienne rondement menée, qui a bien marché, qui prouve que les négociations avec les Farc étaient quand même inutiles et n’avaient débouché sur rien.» Quand on lui fait remarquer que l’otage a, elle-même, remercié Sarkozy, elle répète qu’elle ne souhaite «ni polémique ni récupération politique». Puis, n’y tenant plus, elle lâche la phrase qui va déchaîner les critiques.

En effet, quelques heures plus tard, dans le même hôtel, Fillon découvre les images de la réaction de la présidente de Poitou-Charentes. «Je trouve que c’est un manque de dignité totale, s’emporte-t-il. Elle était comme une petite fille dans une cour de récréation.» Toujours à Québec, Jean-Pierre Raffarin ne se prive pas de condamner sa rivale picto-charentaise : «On ne critique pas le président de la République française sur des terres extérieures à la France», tonne-t-il, assimilant les propos de Royal à «des polémiques secondaires dignes de politiciens secondaires».

«Pression». A Paris, vendredi, la droite se déchaîne : «une enfant qui veut gâcher la fête» (Rama Yade, secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme), «tout simplement pitoyable» (Frédéric Lefebvre, porte-parole de l’UMP). Depuis Québec, Royal rappelle qu’elle s’est contentée de «reprendre des faits admis par tous, et notamment le secrétaire général de l’Elysée», Claude Guéant, qui avait affirmé jeudi : «Dans cette opération précise, les Français n’ont pas pris part.» Et elle contre-attaque, appelant l’UMP «à se calmer».

Sentence (ultime ?) de Fillon : «Cette polémique est regrettable et Mme Royal devra la regretter.» L’entourage du Premier ministre soulignait que, pour rendre possible la libération de Betancourt, il a fallu que Sarkozy prenne l’initiative de «relancer la pression internationale». Car c’est bien cette pression qui a «poussé Alvaro Uribe [le président colombien, ndlr] à chercher des solutions» pour la libération des otages. Toutefois, dans la délégation française, on reconnaissait qu’il est difficile de parler d’un succès diplomatique français. Un élu UMP résumait : «Uribe a fait du Sarkozy tandis que Sarkozy faisait du Chávez [le président vénézuélien].»
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