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 Dog Medicine Revolution

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taiketix
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MessageSujet: Dog Medicine Revolution   Dog Medicine Revolution EmptyVen 29 Juil - 21:52

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MessageSujet: DSK ET SES FRASQUES    Dog Medicine Revolution EmptyJeu 13 Oct - 13:12

Le Curriculum vitae judiciaire de Monsieur Strauss-Kahn
Alors qu’il devait être le prochain Président de la République, un tout autre agenda attendait Monsieur Strauss Kahn. Aussi surprenant soit-il, ce dénouement brutal d’une carrière politique était-il prévisible ? Certains continuent d’invoquer la possibilité d’un complot. Mais qu’en est-il réellement ? Retour sur un parcours politique jalonnée de rendez-vous avec la Justice.



Dominique Strauss Kahn n’est t-il qu’un pantin dans les mains d’une organisation contrôlant la presse française et américaine — ainsi que les institutions judicaires —, qui serait responsable de ses déboires ?

« Nous verrons » a répondu l’intéressé, sibyllin, à Claire Chazal, une amie de sa femme, devant 13 millions de téléspectateurs, laissant ainsi planer habilement la possibilité d’un complot.

Mais n'assiste-t-on pas plus simplement à l’effondrement du château de carte Strauss Kahn ?

Dominique Strauss Kahn n’en est en effet pas à son premier rendez-vous avec la Justice, et jusque-là, il faut en convenir, il s’en était à chaque fois extrêmement bien tiré.

Dans l'affaire de la MNEF, il est poursuivi pour « faux et usage de faux ». Il reconnaît avoir antidaté des documents, mais sans intention délictuelle. Mis en examen le 15 décembre 1999, il est relaxé par le tribunal correctionnel de Paris le 7 novembre 2001.

En janvier 2000 , il est à nouveau mis en examen pour « complicité par instruction donnée et recel d'abus de biens sociaux » à la suite de soupçon d’emploi fictif dont aurait bénéficié sa secrétaire. La juge d'instruction Eva Joly prononce un non-lieu le 2 octobre 2001.

Dominique Strauss-Kahn est ensuite accusé d'avoir octroyé, alors qu'il est ministre de l'Économie, une remise fiscale de 160 millions de francs au couturier Karl Lagerfeld en échange d'une cassette contenant des aveux de Jean-Claude Méry, financier occulte du RPR. DSK reconnaît avoir détenu cette cassette, mais déclare ne jamais l'avoir regardée et l'avoir égarée. Un rapport du procureur de la République de Paris indique qu'il existe de « fortes présomptions de faits de corruption passive à l'encontre de l'ex-ministre », mais le procureur général près la Cour de cassation prend la décision de ne pas saisir la Cour de Justice de la République.

À la suite de ces poursuites judiciaires classées sans suite, le socialiste fait face à des accusations d’un autre ordre. Cette fois c’est une ex-employée du FMI qui l’accuse de harcèlement sexuel. « Que j’accepte ou que je refuse, j’avais le sentiment que j’étais perdante, écrivait cette employée. M. Strauss Kahn a abusé de sa position et je crains que cet homme n’ait un problème qui, peut-être, le rend peu apte à diriger une organisation internationale où travailleraient des femmes ». Malgré ces accusations, l’affaire est classée, et DSK s’en sort indemne en regrettant simplement une « erreur de jugement ».

Les mots avec DSK, qui est, ne l’oublions pas, avocat de profession, ont toujours une extrême importance, et ils sont à chaque occasion soigneusement choisis et pesés. Égarements, oublis, erreurs de jugements, relations inappropriées, jalonnent ainsi son parcours, et à chaque fois l’homme s’en tire de justesse.

Le 14 mai 2011, DSK est l’objet d’une mise en accusation beaucoup plus grave dans le comté de New York. Il fait cette fois l’objet de sept chefs d’inculpations :

-Acte sexuel criminel du premier degré.

-Tentative de viol au premier degré.

-Abus sexuel au premier degré.

-Séquestration au deuxième degré.

-Abus sexuel au troisième degré.

-Attouchements.



Mais encore et toujours, l'inoxydable DSK va s'en sortir indemne. Au terme d’une procédure digne d’une fiction Hollywoodienne, le juge Michael J. Obus décide d'abandonner les poursuites au pénal, conformément à l'avis du procureur Cyrus Vance, qui la veille, lui a recommandé l'abandon des charges en raison du manque de crédibilité de son accusatrice, qui ne permet pas de « donner du crédit à sa version des faits au-delà du doute raisonnable ».

De retour en France, comme chaque Français le sait maintenant, DSK doit affronter une nouvelle accusation de tentative de viol qui remonte à l’époque où il était au faîte de sa carrière politique.

Harcelé sur tous les fronts et poursuivi devant un tribunal civil par sa présumée victime américaine, il invoque son immunité, après avoir déclaré aux forces de l’ordre « qu’il ne cherchait pas à se servir de son immunité » lors de son arrestation.

Face à son accusatrice en France, DSK dénonce « des déclarations imaginaires » et porte plainte à son tour pour dénonciations calomnieuses.

Encore une fois DSK tente de s’en sortir en jouant avec les mots, quitte à se contredire. Dans une biographie officielle, il parle d’une rencontre professionnelle qui s’est passée le plus normalement du monde, tandis que dans sa déclaration devant les policiers, il reconnaît avoir tenté d’embrasser Tristane Banon.

Alors où est la vérité ?

Face à tant de rebondissements, à un battage médiatique sans précédent et à ces tonnes de prétendues vérités ou de mensonges présumés, la France entière est écoeurée et fait une overdose de DSK. L’homme politique dégringole dans les sondages, et en moins d’un an, de meilleur candidat à l’élection présidentielle, il devient l’homme politique le plus impopulaire auprès des Français. Seul un bastion retranché d’amis indéfectibles continue à le défendre aveuglement en creusant ainsi paradoxalement toujours un peu plus profond sa tombe.

À l’heure où nous écrivons ces lignes, une chose est sûre : DSK est politiquement mort, et il a passé tous les stades possibles de la réanimation politique.

Il a tenté le tout pour le tout en affirmant au journal de 20h devant 13 millions de Français, que l’Europe serait une terre de désolation dans moins de 20 ans, si l’on ne faisait rien.

Il a encore une fois tenté de faire croire au bon peuple français qu’on avait besoin de lui, et qu’il était irremplaçable. Mais cette fois, plus personne n’était dupe.

Un moment de vérité cathodique exceptionnel et de grande solitude pour un homme qui fut l’un des plus puissants du monde, et qui se retrouvait sur un plateau de télévision accusé d’un crime de droit commun honteux.

Ce moment, extrêmement pathétique, avait l’odeur de la fin de carrière d’un joueur pris la main dans le sac, et quand DSK a ajouté qu’il « avait lu les journaux » au sujet de la crise, et que ça serait extrêmement grave si nous ne réagissions pas, nous avions comme le sentiment que c’était la dernière tentative d’un joueur talentueux, de nous faire croire qu’il pouvait encore sauver le monde, alors qu’il n’était même plus capable de se sauver lui-même.

Peut-être DSK n’a t-il pas violé Nafissatou Diallo, mais au moins l’a-t-il consommée bestialement en 7 minutes, 5 minutes avant d’aller rejoindre sa fille, et cela est incontestable aujourd’hui. Son ADN en est la preuve matérielle parfaite et empêche DSK, le joueur, de faire planer le moindre doute là-dessus.

Peut-être DSK n’a-t-il pas tenté de violer Tristane Banon, mais la présomption qu'il l'ait agressée sexuellement et violemment est forte, il le reconnaît lui même à demi mots en concédant, avec ses euphémismes habituels, et son vocabulaire soigneusement choisi, un simple baiser.

Mais tout cela au fond — les Français l’ont très bien compris—, n’a plus vraiment d’importance, si ce n’est pour les présumées victimes.

Ce qui a de l’importance, c’est que nous savons maintenant quel genre d’homme nous étions prêts à élire pour guider notre pays et le représenter à l’étranger.

Et cela il ne faut pas l'oublier.

Nous savons maintenant que Monsieur Strauss Kahn n’a pas le comportement requis, ni d’un Président de la République, ni d’un gouvernant chargé de la chose publique.
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MessageSujet: Re: Dog Medicine Revolution   Dog Medicine Revolution EmptyVen 1 Juin - 2:03



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Quand ils furent debout face au socle de grés

Et qu’on vit sur leur front le desarroi naissant

L’ œil était dans la tombe et regardait les trains

(Guillaume PEPY patron de la SNCF)



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